sur Huc Sunt Sirenae, le blog que j'ai conçu autour du défilé, vous trouverez à partir d'aujourd'hui et assez régulièrement - j'espère! les costumes et accessoires mis en vente.

là il y a une robe et un sac.

L'échelle des prix sera très large, de 30 à ...1500 euros, selon qu'il s'agit d'une création totale ou d'une pièce réalisée à partir de quelque-chose qui existait déjà, de la récup' et transformation en somme.

N'hésitez pas si vous avez des questions, pour me joindre cliquez sur "contactez l'auteur" dans la colonne de droite, ou sur Facebook pour ceux qui y ont accès.

Chaque année, au printemps, il fait trois fleurs. (ici vous en voyez seulement deux, j'en ai déjà coupé une). Est-ce parce qu'il a beaucoup de lumière? on m'a dit aussi que ce genre de plantes font des fleurs quand elles sentent qu'elles vont mourir, mais là, ça fait la quatrième année... pendant la floraison, les feuilles poussent au ralenti, mais ensuite ça repart. Il parait qu'à Haîti on mange une partie de cette plante. Je n'essaierai pas.

Sa vitalité m'épate. 

Derrière elle, on voit une variété de cannelle - je ne sais pas son nom - qui, pareil, n'arrête pas de se développer. Je la change tous les ans de pot, mais je pourrais deux fois par an, tant elle pousse! J'ai essayé de faire sécher ses tiges, qui en effet une fois sèches ressemblent à des bâtons de cannelle, mais le parfum n'y est pas, ou trop peu. Quand même, bon, elle n'est pas dans son milieu naturel... faut pas trop en demander!

"J'ai conçu ces vêtements pour raconter une histoire, la nôtre dans notre époque, celle d'une humanité pour laquelle les apparences s'écroulent une à une.

Ils font écho à l'intérieur de l'être.

Ils disent ce que le corps ne dit pas, et jusqu'à la métamorphose.

C'est pourquoi j'ai délibérément refusé de chercher la perfection technique, préférant hésitations, incohérences, inachèvements, exagérations...car c'est ce que nous vivons."

réservations: 06 61 51 81 20, ou larmoireagaze@gmail.com

là je vais vous parler un peu du Sartorialiste, le blog de Scott Schuman, qui est photographe.

Je le suis depuis des années, et depuis quelque temps il me plait encore plus (le blog). Car l'éventail des photos qu'il présente s'élargit vers d'autres "people" de la rue, avant c'étaient surtout des gens de la mode, pris sur le vif l'Iphone à la main à l'entrée des défilés de mode de NY, Paris, Milan, Londres, etc; mais comme il voyage partout et qu'il shoote comme il respire, il nous montre aussi des personnages pas forcément riches, pas forcément heureux, pas forcément libres - attention, je caricature un max, je sais bien qu'une lady en Prada n'est pas systématiquement heureuse et libre non plus.

J'aime aller trainer sur son blog, il ma fait voyager, c'est un bon témoin de maintenant.

Mes balades n'ont jamais cessé; seulement les photos! 

Voici donc le début de la cuvée 2014. Curieux élagages... et fleurs, partout, en haut, en bas, devant, derrière.

Les photos ne rendent pas la douceur de l'air, les chants d'oiseaux débridés, les parfums qui embaument partout...quelle chance, quel bonheur.

Le cerveau farci images obsédantes, après quelques heures de chevalet, l'appel des arbres se fait impérieux.

Ce chemin-là, il y a encore une quinzaine de jours je n'en connaissais que la tentation, depuis le temps que je passe à 50 km/h devant son seuil prometteur.

voici donc des arbres et des chemins, ça faisait longtemps!

Choisies dans un catalogue de déguisements
des années 1920, des idées de costumes...
bonjour la couture...à part un ou deux modèles,
ce sont, on va dire, uniquement
de beaux dessins, et

je serais curieuse d'en voir

quelques-uns réalisés! Je parle en
connaissance de cause: les ateliers
"Le Mans fait son cirque" doivent commencer
d'ici peu, y'a pas intérêt à arriver avec ce genre d'idées...
sinon on va m'entendre...

Plutôt sobre comparé à ce que je fais d'habitude...

mais voilà, le lieu s'est imposé, se suffit à lui-même. Je crois qu'il m'a conseillé l'humilité, la simplicité.

Et finalement ça me convient tout-à-fait. J'y raconte aussi bien mon histoire de cette façon.

Ce sont, paraît-il, les quelques mètres-carrés les plus anciens du quartier...XIVème siècle, la grande classe!

C'est visible, avec le travail de cinq autres artistes, jusqu'à dimanche.

La Ferté-Bernard, Chapelle St Lyphard, Sarthe.

Je n'ai pas résisté...je voulais dessiner ce matin, mais l'appel du blanc a été le plus fort.
Grosses chaussettes, bottes fourrées et grosse veste, et c'est parti, les mêmes chemins , les mêmes arbres qu'en été mais... en blanc. Et dans le ouaté silence.
Je suis persuadée que vous en avez aussi mais je vous montre quand même...

La dernière image est une vue à partir de mon sentier secret, que j'ai failli ne pas retrouver tant les repères changent sous la couche blanche...j'ai pu constater aux petits pas que des bêtes mystérieuses le connaissent aussi, et j'espère que les traces profondes que j'y ai également laissées ne me trahiront pas...

Apparemment peu de gens se baladent, j'ai juste croisé un jeune homme qui avait l'air aussi heureux que moi.
La neige comme ça, d'accord...

Visité hier la chapelle St Lyphard, à la Ferté-Bernard, avec cinq collègues artistes: nous exposerons là début juillet.

Les vitraux sont occultés pour cause de spectacle, mais ça ne durera pas bien sûr.

L'endroit est beau, et j'aurai la chance de pouvoir installer mon travail dans la petite alcôve au fond à gauche (voir ci-dessus).

Sinon actuellement j'héberge une grosse angine pas très sympathique, et très collante. Impatiente qu'elle reparte vers de nouveaux horizons, car elle me fatigue énormément avec ses exigences et son insistante présence. Elle m'accompagne partout, ne me lâche pas d'une semelle, et n'a aucun humour. J'ai dû remettre quelques projets, me réfugie dans le sommeil et n'ai plus beaucoup d'appétit. Je ne l'avais même pas invitée, quelle arrogante! Surtout faites bien attention, il y en a comme ça qui ne se gênent pas.

Si vous aimez mes photos, vous les retrouverez dans ma galerie Flickr...ce n'est qu'un début, mon sens du classement va être mis à rude épreuve! il m'a semblé dommage qu'elles soient oubliées dans les archives du "Curieux", même si les statistiques me disent que tous les jours des nouveaux visiteurs les y découvrent. Car quand même, c'est un peu le b...azar là-dedans!

Pour le moment, j'ai installé les photos d'ambiances et les textiles de ma collec, ça continuera avec les créations dans des albums.

 Il y a juste un truc bête, c'est que j'arrive pas à insérer une photo à la place de l'avatar gris et noir.

Bon, ça va venir.

Plutôt bucolique, non? c'est l'entrée de l'allée qui mène à notre hangar-atelier, assis dans son coin de campagne.

Ce week-end, nous accueillons quatre artistes, nous avons chacun-chacune choisi le nôtre! nous leur prêtons nos ateliers, pour qu'ils-elles exposent leur travail , nous appelons ça "Carte libre", des parrainages en quelque sorte.

Le soleil me donne des envies de balades, de me poser dans l'herbe...de voir les bourgeons s'ouvrir et le vert pousser partout.

Mais à nouveau la fièvre de l'aiguille s'est emparée de moi, tandis que la peinture avance aussi...alors les balades attendront!

merci à chacune pour vos encouragements...je dois le dire, c'est sans doute le moment, et le lieu (!) que le fait de partager un peu sur ce blog m'a aidée à continuer dans certains instants difficiles; ces derniers mois, je n'ai pas beaucoup posté, mais Le Curieux petit lieu était comme un petit foyer à la flamme persistante, et qui me faisait chaud, caché dans son coin, une flamme entretenue par VOUS, qui chaque fois que je prenais le temps d'écrire un brin, réagissiez par votre visite et vos commentaires.

Quand je viens sur canalblog, le premier clic est pour les statistiques; et je vois bien que la grande majorité des visiteurs se glisse silencieusement par ici, et je les en remercie également, je sais que vous venez aussi et regardez, et ça me fait du bien!

Je souhaite qu'à vous aussi, ça vous fasse du bien de passer par là, ce que je montre ou dis n'est pas toujour léger ou rigolo!

merci d'être fidèles ne tout cas, ou moins, ou pas, en tout cas...d'être curieux...curieuses...

Aujourd'hui, je porte de la dentelle.

Et je change les coloris de mon blog; ça me correspond mieux maintenant, pas de doute, bien que la couleur de fond que je voulais n'existe pas sur la palette de canalblog, dommage...

C'est aussi plus en harmonie avec le site qui est en train de naître - merci Franck!

mon site, enfin!

je me disais que ça n'était pas si important que ça, parce que j'avais des blogs.

maintenant qu'il existe, j'en vois bien les avantages.

tout mon travail de ces dernières années apparaît cohérent, visible, clair, parlant.

en effet, c'est pas pareil!

 le blog "Isabelle Strutz" précédent n'existe plus...merci à tous ceux et celles qui s'y étaient abonnés, et avez suivi mon travail sur ses pages! maintenant mes nouveaux tableaux seront visibles parfois ici, mais surtout sur les pages du site, qu'ils compléteront d'une façon naturelle.

La semaine dernière j'ai reçu un colis de choses délicieuses, tendrement emballées.

L'ange de ce lieu les a créées, choisies ou customisées, et cela m'a beaucoup touchée.

Ses propres photos sont bien plus réussies que les miennes, comme d'habitude, et je vous conseille d'aller y voir, de visiter sa boutique pleine de poésie, et de suivre son chemin pavé de délicates créations. 

Merci à toi, petite soeur de la toile.

... bien longtemps que je n'ai laissé un post! 

J'attendais l'inspiration, l'envie, l'évidence, toutes ces choses qui me portaient autrefois. C'était, autrefois,  une sorte de facilité que je m'étais offerte, sans m'en rendre compte, provoquée par ce que j'avais mis en place au fil du temps, avec mon énergie créatrice.

Mais peu à peu,  j'ai rompu ce fil de facilité, parce que ça n'était plus la bonne fréquence, ça m'emportait dans une direction de ressentis anciens, ceux d'avant, dans lesquels je ne me reconnaissais plus; à tenter de "garder le fil", je n'étais plus honnête avec moi-même. Quel inconfort! vous avez bien vu, j'arrivais dans les derniers mois à poster des articles, essayant malgré tout de raccrocher les wagons, de conserver le ton.

Je ne comprenais pas vraiment ce qui arrivait, et je pouvais parfois croire qu'il suffisait de décider d'une action pour que celle-ci existe.  Alors je lançais un article. 

Pourtant, l'énergie ne sous-tendait plus l'acte, et je ressentais au plus profond de moi-même le "à quoi bon?" annonciateur de grande démotivation.

Bref, on le sait bien, ça ne sert à rien de forcer quoi que ce soit!

En tout cas, en ce qui me concerne, je n'ai plus depuis longtemps l'intention de forcer quoi que ce soit ... encore faut-il que j'aie la conscience bien lucide de ce qui me pousse à faire, ou ne pas faire, ce que je fais.

Pendant tout ce temps j'ai bien sûr vécu beaucoup de choses, et voilà ce dont je me suis aperçue : ce qui compte, c'est la façon dont on vit les évènements, car c'est cela qui donne forme à ce que l'on devient, et à ce qu 'on pourra partager. 

Du coup, si ça vous dit, je vous emmène ailleurs, là où mes pas m'ont portée.

Ce n'est pas loin du tout,  c'est ICI, dans un monde que vous reconnaîtrez sûrement, mais vous remarquerez sans doute des nuances, des disparitions, et des trucs en plus. 

Et je vous remercie de m'y retrouver, si vous décidez de le faire.  Venez comme vous êtes, mais surtout, n'oubliez pas votre curiosité!

  image: http://site.carnineantiques.com/antiques3.html

Cette belle boite en carton bouilli du XIXeme, ainsi que plein d'autres,
renferme les messages que je veux vous poster; mais j'ai plein de travail,
et le temps pour s'occuper de notre Curieux petit lieu est

dans une autre boite qui est bien cachée...je vais la retrouver, promis!
en attendant, j'ai décidé que
le stress ne sortirait plus jamais de sa boite à lui...
elle est fermée à double tour, et au fond du puits! sans blague,
il y a des moments où les grandes décisions s'imposent d'elles-mêmes.

oui, ennuyée, car je n'arrive jamais à aller répondre à vos commentaires directement sur votre boite mail; lorsque je clique sur vos adresses, l'écran "outlook" s'affiche, je rédige ma gentille réponse, je valide, et...il me dit qu'il y a erreur, et il efface tout, et il n'accepte jamais...il m'énerve!
si vous savez ce que je ne fais pas correctement, je veux bien que vous me le disiez, car j'aimerais beaucoup répondre à chacune!

Une courte balade au bord de l'eau, en pleine ville, et voilà quand même un bel arbre, photographié exprès pour vous, que vous sachiez que je pense à vous malgré les apparences.

Un formidable vernissage, beaucoup de monde et de belles réactions, c'était il y a déjà une semaine...

Je m'occupe de mon jardin intérieur, de tout ce que j'avais laissé de côté depuis des semaines, et je me remets à peindre.

Bon dimanche!

et à bientôt à chacune et à chacun...

Une tasse d'un thé délicieux, d'une excellente qualité, réalisée avec ce que j'ai découvert dans ma boite à lettres samedi matin, envoyé par l'ange; avec le gâteau au chocolat que je fais - souvent - c'était parfait!

et puis, des nouveaux tableaux; vous n'en voyez pas grand-chose mais ça avance...dans tous les sens.

à voir ici

normalement je ne dévoile pas mes recettes de cuisine; je sais, ça ne fait pas internettement correct, mais voilà : j'adore répondre "eh non, c'est un secret" lorsque j'ai proposé un truc de mon cru à manger et que c'est bon et qu'on me dit "tu me donneras la recette?".

 là d'accord, je vais la donner; d'abord parce qu'elle n'est pas de moi; c'est une vieille fiche-recette de Elle (le magazine).

Et aussi parce que c'est l'Ange qui me la demande, et que ça se mange très bien avec le thé qu'elle m'a envoyé...

Des mi-cuits au chocolat, j'en ai testé des tas. Celui-là, il a le petit truc en plus, c'est les blancs montés en meringue qui lui donnent un velouté incroyable...

160gr de chocolat noir (ne pas lésiner sur sa qualité, ça fait tout)

160 gr de beurre

5 oeufs

50 gr de sucre semoule

15gr de farine

50 gr de sucre glace

1 pincée de sel fin

faire fondre au bain-marie le chocolat et le beurre en petits morceaux

dans un saladier, blanchir 4 jaunes avec le sucre semoule, incorporer la farine

monter au batteur 5 blancs en neige ferme avec le sel; incorporer le sucre glace à la fin, au batteur toujours

préchauffer le four, T 5 ( 150°)

verser le chocolat/beurre dans les jaunes, mélanger

incorporer les blancs, bien mélanger doucement

verser dans un moule (à manqué plutôt)

enfouner 20 mn (là ça dépend, du four, de si vous voulez qu'il soit mi-cuit ou pas, ça se joue à une ou deux minutes, il faudra sûrement refaire plein de fois avant de réussir exactement comme vous le voulez...mais c'est toujours bon!)

démouler ou pas, servir tiède.

J'aime trouver, dans les blogs que je visite, des longs moments de flottement, d'absence non justifiée. La vie... Depuis quelque temps c'est mon tour, il me semble. Enfin, je considère qu'à peine un message par mois peut s'apparenter à une absence, quand on peut voir qu'à certaine époque il m'arrivait de poster deux fois par jour.

Aujourd'hui je constate cela, et du coup, je fais un petit bilan: il faut bien reconnaître que le virage à 45 ° que je suis en train de prendre dans mon existence a des répercussions directes sur "Le Curieux petit lieu". Cela fait plusieurs fois en une semaine que j'ai envie de poster un truc, mais ...panne devant la page blanche.

Non que je n'aie rien à dire, au contraire! C'est que, depuis Juillet, tant de choses ont changé en profondeur que je ne peux plus continuer de la même façon!

Quand je parle de profondeur, c'est d'intériorité qu'il s'agit, bien sûr, car apparemment rien n'a vraiment changé,  quelques réajustements, un déménagement d'atelier, et c'est tout. Mais ils témoignent d'une remise en question sérieuse, à plusieurs niveaux. Et c'est passionnant...

Enormément de rencontres, nouveaux projets, perspectives élargies...

En ce qui concerne ce blog, ça passe ou ça casse, mais comme j'ai très envie que ça passe, je laisse mûrir les choses, et je verrai bien quelle forme ça prendra! la Polline secrète qui cousait seule ou presque dans son atelier n'existe plus. Je serai heureuse de parler avec la voix de la nouvelle dès qu'elle aura fait le tri dans tout ce qu'elle voudrait dire...montrer...partager...ou pas.

Pour prouver à quel point je dis vrai quand j'évoque un changement en profondeur , voici la première photo où je veux bien apparaître. C'est le nouvel atelier que nous occupons, avec trois autres artistes, la photo a été prise fin août pendant les travaux, heureusement nous sommes installés maintenant. Et celle qui est accroupie au milieu c'est Polline Moineau. Une fois n'est pas coutume.

je sais, c'est début août,  certains sont partis, mais c'est comme ça: je vous dévoile mon grand projet.

Je suis en train de coudre un défilé... plus exactement une collection de vêtements d'artiste. Oui, c'est ça le truc secret dont je vous parlais. Je viens de le poster sur un site de financement participatif, Ulule,

Vous pourrez y découvrir l'histoire du projet, le déroulement, tout ce qui se passe autour. Le défilé, la collection, s'appelle "Huc sunt sirenae", cette expression que je trouve très belle.

Vous pourrez même, si tout ça vous motive, y participer!

C'est passionnant pour moi, excitant, et même un peu stressant. On verra comment ça évolue...Je ne sais pas encore très bien comment je vais articuler le site, ce blog et celui que j'ai créé, et qui servira pour y lire la newsletter concernant le projet, mais bon, je suppose que je vais vite trouver la vitesse de croisière. Comme d'habitude vous êtes plongés en direct dans les méandres de mes questionnements!

pour illustrer, une vue de l'atelier, bien que ça n'ait pas de rapport direct. Comme vous le savez déjà, je travaille à la maison, car décidément, trop de poussière, de toiles d'araignées...quand je pense que je disais aimer les greniers...!

"Conjurer le sort (x2), Ne jamais déborder, Tous les jours je me bats(x2), Toujours pareille toujours différente, Et puis une nuit, Mais qui suis-je vraiment?, Les reliques, Manipulez-moi avec précaution, Légère et transparente, Le temps des révélations"...

voici dans l'ordre les noms des robes ci-dessus, photographiées par Bertrand Edet, qui s'est aussi occupé des éclairages.

Là, Le poids de la vie ( une robe très lourde portée par Véronique Veyser Nogueras qui portait aussi Et puis une nuit sur deux passages avec mise en scène), et Toujours pareille toujours différente.

Ici, encore Le poids de la vie et "ça commence bien", portée par l'adorable petite Gaby, subtile petite fleur en robe à traîne qui démarrait le défilé, lourde responsabilité qu'elle a assumée avec beaucoup de sérieux!

Pour moi ça a été très beau et fort. Tout s'est passé comme je l'avais rêvé, d'un bout à l'autre. Magique, encore! Chacune, chacun a été formidable, s'est donné à fond, l'équipe était enthousiaste et concentrée, très investie. Le public était génial, on a dû refuser du monde mais un film a été réalisé comme promis. Il est en cours de montage et vous le verrez.

Vous verrez aussi des images des coulisses.

C'est Keissa Shop qui a coiffé avec brio Céline, Leslie, Lucie, Sandra et Véronique.

Et Marielle pour le maquillage.

Photos et éclairages Bertrand Edet, bande-son David Veyser.